Réalisations
Compensations écologiques
Revitalisation de zones humides
Les étangs des Queues-de-chats, situés à l’est du village de Bonfol, appartiennent à la Fondation des Marais de Damphreux et figurent à l’inventaire fédéral des sites de reproduction de batraciens d’importance nationale (site IBN).
Compensation écologique A16
Dans le cadre des travaux de construction de l’A16 (JU), la combe de Mavalau a été remblayée à l’aide de matériaux inertes provenant du chantier. La remise en état du site après remblayage a permis de renforcer les structures naturelles favorables à la faune aux abords du passage à faune inférieur des Essapeux.
Plan de gestion et d'entretien
Sur mandat de la section des constructions routières (Service des infrastructures JU), Biotec a établi un dossier d'entretien complet pour 19 des 27 surfaces de compensations écologiques de l’autoroute A16, selon les directives ASTRA 18006. Ces dossiers comprennent une fiche générale avec diagnostic, objectifs et mesures pour chaque compensation, un plan d’entretien localisant chaque unité d’entretien, ainsi qu'un jeu de fiches détaillant les modalités d’entretien pour chaque unité.
Mesure de remplacement de biotope
Les impacts provoqués par le déplacement du tracé de la route cantonale 247 à Chevenez dans le cadre de la construction de l'A16 sont compensés par des mesures de remplacement de biotope. L'aménagement de haies arbustives et multistratifiées, la mise en place de prairies fleuries, la plantation d’arbres fruitiers et l'aménagement de structures favorables à la petite faune font partie de ces mesures.
Création de zones humides - mares
Les impacts provoqués par la construction de l’autoroute A16 dans le canton du Jura sont compensés par des mesures de remplacement de biotope. L’aménagement d’une mare sur la commune de Bure fait partie de ces mesures. Elle consiste en la réalisation d’un point d’eau (mare) favorable aux amphibiens et notamment aux espèces pionnières telles que le sonneur à ventre jaune.
Revitalisation de zones humides
Dans le cadre de la construction de l’autoroute A16 dans le canton du Jura, un bassin de décantation/infiltration a été réalisé pour récolter les eaux de drainage du tunnel Courrendlin-Choindez. A la fin de la construction de l’autoroute, ces bassins de décantation n’avaient plus raison d’être et ont été repensés et réaménagés en zones humides, milieux extrêmement intéressants du point de vue de la diversité biologique.
Revitalisation de ruisseaux et compensations écologiques
Les impacts provoqués par la construction de l'autoroute A16 dans le canton du Jura sont compensés par des mesures de remplacement de biotope. La revitalisation du ruisseau de Boécourt à l'aval de l'étang des Montoies fait partie de ces mesures. Elle consiste en la revitalisation du ruisseau, anciennement canalisé, et l'aménagement de milieux naturels entre le ruisseau et l'aire de repos de Boécourt.
Revitalisation de zones humides
Les sites de reproduction de batraciens d’importance nationale (site IBN) constituent des milieux à protéger, à conserver et, selon leur état de dégradation et d’atterrissement, à revitaliser. Sur la base d’un plan de gestion, le site de l’Etang de la Réselle à Soyhières a ainsi été redynamisé. Un plan d’entretien cadre les futures interventions.
Suivi d'efficacité des mesures de compensations
Suite à la revitalisation du ruisseau de Bressaucourt, un suivi d’efficacité a été mis en place pour vérifier l'atteinte des objectifs biologiques du projet.
Suivi d'efficacité des mesures de compensations
Suite à la revitalisation du ruisseau de Boécourt, un suivi d’efficacité a été mis en place pour vérifier l'atteinte des objectifs biologiques du projet.
Etude nature et compensations écologiques
Les améliorations foncières (AF) se caractérisent par la construction de nouveaux chemins, la réorganisation des surfaces exploitées, la restructuration des éléments naturels et donc par des atteintes à la flore, la faune sauvage et le paysage. Les remaniements parcellaires (RP) sont donc soumis à la législation sur la protection de la nature. S'ils couvrent plus de 400 ha, ils sont soumis à une étude d’impact sur environnement (EIE). Description du RP de CCM.
Etude nature et compensations écologiques
Les améliorations foncières (AF) se caractérisent par la construction de nouveaux chemins, la réorganisation des surfaces exploitées, la restructuration des éléments naturels et donc par des atteintes à la flore, la faune sauvage et le paysage. Les remaniements parcellaires (RP) sont donc soumis à la législation sur la protection de la nature. S'ils couvrent plus de 400 ha, ils sont soumis à une étude d’impact sur environnement (EIE). Description du RP de Courtételle.
Etude nature et compensations écologiques
Les améliorations foncières (AF) se caractérisent par la construction de nouveaux chemins, la réorganisation des surfaces exploitées, la restructuration des éléments naturels et donc par des atteintes à la flore, la faune sauvage et le paysage. Les remaniements parcellaires (RP) sont donc soumis à la législation sur la protection de la nature. S'ils couvrent plus de 400 ha, ils sont soumis à une étude d’impact sur environnement (EIE). Description du RP de Bressaucourt.
Protection des batraciens
Les effets de coupure des routes sur les migrations des batraciens ont été étudiés et des solutions efficaces mises en place à l’ouest de la ville de Porrentruy
Création de zones humides
Comment transformer une zone agricole fortement et intensivement exploitée en une zone humide naturelle et sauvage ? Cas de la zone Montchoisi à Bassecourt
Revitalisation de zones humides
Les sites de reproduction de batraciens d’importance nationale (site IBN) constituent des milieux à protéger, à conserver et, selon leur état de dégradation et d’atterrissement, à revitaliser. Sur la base d’un plan de gestion, le site de l’Etang Corbat à Porrentruy a ainsi été redynamisé. Un plan d’entretien cadre les futures interventions.
Création d'un nouveau cours d'eau
Un des plus grands chantiers de revitalisation en Europe, a été réalisé en collaboration avec EDF. Un bras du Rhin, juste en aval de Bâle, a repris vie avec plus de 100 hectares de milieux naturels à ses côtés.